On parle souvent du mal de dos au travail, ou des femmes enceintes femmes et aussi des sportifs mais nous ne parlons jamais de nos enfants sportifs qui ne devraient pas mais pourtant souffrent également du dos.

30% de ces mini athlètes souffrent de maux de dos, ce n’est donc pas un cas rare et isolé…

Quand faut-il s’inquiéter ?


Dans un premier temps les maux de dos varient en fonction du sport pratiqué, et selon leur intensité et la fréquence de l’activité sportive.

Rappelons que les enfants sont en pleine croissance et qu’ils sont de ce fait bien plus fragiles que nous adultes.

Pendant la croissance, la colonne vertébrale de l’enfant est en plein développement et même si les enfants sportifs seront plus musclés, il n’empêche qu’ils n’auront pas encore tous le maintien musculaire nécessaire pour soutenir la mécanique.

En plus de faire travailler de façon intensive tout leur corps et leurs muscles, ils auront des fragilités, et ce bien plus rapidement qu’un sportif adulte.

Le risque est donc qu’ils ne parviennent pas à se “tenir droit”.

Aussi même si l’enfant s’adapte à tout, son cartilage lui n’étant pas fini il peut être altéré et par la suite créer un manque en fin de croissance.

Il pourra souffrir notamment de lyse isthmique, qui est une absence de soudure au niveau de l’arc osseux de la colonne vertébrale et un exemple typique de ce que risquent nos enfants athlètes.

Il faut s’inquiéter à partir du moment où votre enfant va trop se plaindre de son dos, se tenir en permanence voûté, ou si votre médecin s’aperçoit de la présence d’une scoliose.

Les soucis de dos ne sont pas à prendre à la légère surtout que nos enfants sont en pleine croissance : ce qu’ils font subir à leur corps aujourd’hui sera une empreinte irréversible pour leur avenir.

Une solution – Auto-massage du dos?


Souvent que nous soyons adulte ou enfant, notre médecin traitant va nous diriger vers un kinésithérapeute, en effet que ce soit pour ces petits athlètes ou pour nous il est important de faire les bons choix et surtout soigner son dos.

Le kinésithérapeute ou même les solutions médicamenteuses sont le grand classique et si nous regardions plus loin que le bout de notre nez ?

S’il y avait d’autres solutions que l’on peut pratiquer plus facilement et avec moins de risques ?

Il faut penser de manière naturelle, un peu comme des retrouvailles entre son corps et son esprit : ne faire plus qu’un et comprendre son fonctionnement.

L’auto-massage en est le parfait exemple, il peut être considéré comme une science tout autant qu’un art.

L’auto-massage tient ses origines de la médecine ancestrale chinoise tout comme l’acupuncture ou la réflexologie qui sont, au même titre que l’auto-massage, des médecines douces.

L’auto-massage est le fait donc de se masser soi-même tout en effectuant des pressions avec son pouce et son index.

Ce que cette manière de se soigner a de plus pratique par rapport à toutes les autres, c’est que l’on peut pratiquer une séance d’auto-massage au moment que l’on souhaite dans l’endroit de son choix, il n’est même pas nécessaire de trouver un endroit propice et spécifique.

Que vous soyez dans votre maison, ou en visite dans votre famille, au travail ou même en voiture l’auto-massage se pratique partout véritablement !

L’auto-massage vise à rétablir une harmonie dans votre corps, en rétablissant les canaux d’énergie à un niveau normal. Ni trop d’énergie ni trop peu un juste milieu pour votre bien être.

Un exemple d’auto-massage du dos :

  • Au niveau du bas de votre dos, vous allez simplement poser vos pouces de part et d’autre de votre colonne vertébrale.
  • Ensuite il vous suffira d’exercer une pression de haut en bas.

Il y a d’autres moyens tout aussi doux de soulager votre dos mais surtout ce type de massage vous pouvez l’apprendre ou le pratiquer à votre petit sportif, ça pourra même éventuellement créer un moment de complicité entre vous.

Il faut juste penser que le corps de votre enfant sportif est déjà assez malmené et qu’il est logique de penser à une technique plus douce pour guérir ses maux !


Vous avez aimé cet article ? cliquez sur « j’aime » et retrouvez-moi sur Facebook !
email