Fracture au sacrum : gravité et traitement

Fracture au sacrum, est-ce vraiment grave et que faire pour aller mieuxLe sacrum est un os situé au niveau de la colonne vertébrale. Il lie le coccyx aux vertèbres lombaires. Comme tout os, le sacrum peut se fracturer. Et une fracture au sacrum ce n’est pas simple…

Le diagnostic pour une fracture au sacrum est difficile à faire.
Les médecins pensent souvent à une lombalgie aiguë car les symptômes sont identiques.

La douleur peut être très forte ce qui peut empêcher un examen médical profond.

La radiographie peut ne pas être suffisante pour déceler une telle fracture au sacrum.
La scintigraphie s’impose dans certains cas.

La gravité d’une fracture au sacrum est variable. De fait, dans des cas plus graves, des complications peuvent voir le jour. Les nerfs se trouvent comprimés et ils imposent une grande douleur qui peut durer.
On peut également observer une autre complication qui est la rétention d’urine due aussi à cette compression des nerfs.

Le traitement résidera dans ces cas en un repos profond et long. Le patient reste dans un fauteuil ou dans un lit.
Il lui faut également prendre des antidouleurs et des relaxants sur conseil de son médecin traitant bien sûr car il y a certains médicaments qui ne conviennent pas à tous…

La douleur d’une fracture au sacrum se fait moins présente au fil du temps mais l’important est que le patient se relâche, il est important d’avoir un relâchement musculaire.

Dans les cas les plus graves de problèmes au sacrum, une opération chirurgicale est nécessaire.
Elle peut être précédée d’infiltration au niveau du bassin.
Les injections sont pratiquées par un professionnel.
Tous ces traitements vise la non complication de la fracture au sacrum. Il ne faut pas que l’os : le sacrum, se déplace d’avantage.

Comme pour toute fracture, celle au sacrum demande que le repos soit de mise les premiers temps pour laisser se ressouder les parties dissociées.

Mais n’oublions pas que les problèmes liés à la colonne vertébrale sont très subjectifs, surtout les réactions, le niveau de douleurs, et donc les façons médicales d’y réagir…


Vous avez aimé cet article ? cliquez sur « j’aime » et retrouvez-moi sur Facebook !
email