Le mal au dos est-ce une faiblesseNotre dos ? Il souffre de faiblesse et est également un témoin avertisseur. Nous ne naissons pas avec le mal au dos, (à part en cas de déformation à la naissance bien sûr).

Personne ne doit oublier que le dos est le soutien de notre posture humaine, debout. Sans lui et sa structure complexe, nous ne pourrions pratiquer des rotations, des inclinaisons à droite, à gauche vers l’avant et vers l’arrière. Le tronc se maintient droit grâce à l’arbre vertébral et les muscles régissent les mouvements.

Le mal au dos, une faiblesse ?

Oui, si c’est par limite musculaire. Chacun doit apprendre à entretenir les fibres par un apport énergétique lié à la nourriture équilibrée, respectant les besoins en glucides, lipides et protéines.

Prévenir le mal au dos est à la portée de tous en participant à des cours de gymnastique, des séances de yoga, des étirements le plus souvent possible, des postures assises évitant les lordoses et scolioses.
L’important passe par le respect du corps et de ses forces physique à droite et à gauche afin de prévenir et de limiter le mal au dos.

Le mal au dos, un signal ?

Les tensions dorsales récidivent malgré tous nos efforts si l’origine du mal au dos vient du stress et de tensions mentales.
Le corps parle et avertit par des douleurs pouvant devenir insupportable. L’expression « j’en ai plein le dos » est explicite.
Sans doute, le repos devient indispensable ? Les discussions et sous entendus sont- ils nuisibles à l’équilibre ? La fatigue trop lourde à porter ? Les soucis et inquiétudes sur les lendemains ingérables ?

Les réflexions  sur la vie intérieure sont personnelles mais les souffrances non dites créent des tensions si fortes qu’elles stoppent l’individu et bloquent le dos.
S’exprimer, oser se libérer du poids trop lourd à porter, celui qui fait déborder le vase, effacera le mal au dos et la vie deviendra plus paisible.
L’entretien de notre mental résiste et participe à l’entretien physique, ils marchent ensemble, ne les négligeons pas.

Ne croyez pas que vous êtes faible parce que vous êtes limité par les douleurs, la force ne se limite pas à soulever un poids, loin de là…


Vous avez aimé cet article ? cliquez sur « j’aime » et retrouvez-moi sur Facebook !
email