Un mal de cou  Ne le prenez pas à la légère voici les conséquences possibles..Rien de grave n’est envisagé quand on constate qu’on souffre d’un mal de cou. Dans la majorité des cas, il peut s’agir tout simplement d’un torticolis. On n’a pas forcément besoin d’un médecin pour soigner ce cas. Des méthodes de grand-mères existent pour soulager ces cas.
Mais en attendant la consultation médicale, il ne faudra pas négliger certains symptômes car les cervicalgies ou mal de cou ne sont pas uniquement la cause d’un banal torticolis.

Les causes d’un mal de cou…

Occasionné par un accident de voiture à faible vitesse, une blessure peut entraîner un traumatisme cervical ou une entorse au niveau des vertèbres du cou. On l’appelle communément ” le coup du lapin”. Ce “coup du lapin” est enregistré avec un choc arrière amenant la tête à basculer vers l’avant pour être projeté violemment ensuite vers l’arrière.
Les sept vertèbres cervicales sont touchées et entraînent des impacts douloureux sur les muscles, les ligaments ou les tendons. Il arrive qu’un pincement d’un nerf entre deux vertèbres occasionne un mal de cou et donc des douleurs allant vers l’épaule, le bras ou la main.

Lors de la constatation d’un accident, Le coup du lapin n’est pas à négliger car il peut entraîner des conséquences sur la colonne vertébrale et l’origine d’une paralysie.

Dans les heures qui suivent le traumatisme cervical, plusieurs symptômes peuvent apparaître pour confirmer cette cervicalgie. L’accidenté sent une douleur au niveau du cou et partant dans le bas du crâne, vers les épaules et dans le dos. Les mouvements du cou sont limités jusqu’à une certaine rotation. Des maux de têtes sont enregistrés en bas du crâne ou sur une moitié de crâne uniquement.

A long terme, le coup du lapin entraîne divers symptômes handicapants et persistants. Dans ces cas, il vaudrait mieux consulter un médecin. Ces conséquences peuvent se montrer sous forme de malaise, de déséquilibre, des vertiges et un flou visuel et même des troubles de la mémoire et de la concentration. Là, c’est une des possibilités graves du mal de cou.

Le traitement d’un mal de cou se fait avec des anti-douleurs, ou des anti-inflammatoires et des myorelaxants. L’immobilisation du cou à l’aide d’une minerve est rarement requise car l’immobilisation du cou n’est pas souvent une solution. Il est préférable de continuer à poursuivre ses activités normales en douceur. Toutefois, il faudra se conformer aux résultats des examens d’imagerie vérifiant l’état des lésions et en présence des troubles neurologiques.


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